Histoire collective

Histoire collective

Publié par Léo Hebert et Lucie Desaubliaux

Journal du projet

Histoire collective écrite avec l'ensemble de la classe. Les élèves ont chacun proposé un mot qu'ils devaient ensuite insérer dans cette histoire (tout en essayant d'oublier cette consigne pour privilégier une narration fluide et intéressante).

Atelier 4.1 du 06/04/2017

Il était une fois une fête sur Le Pont Blanc. Les gens dansaient avec les pirates. Nous nous sommes mis autour d'une table géante dressée près du bastingage pour contempler le coucher de soleil sur la mer. Nous nous amusions en dansant le madison et le cha-cha-cha. Tout le monde discute avec tout le monde sauf avec le boucher qui était si laid que personne ne voulait parler avec lui. Soudain, le chef des pirates s'est levé d'un coup sec et a porté un toast à l'amitié et à la paix qui régnera entre les capitaines des deux bateaux. C'était amusant parce que les filles étaient déguisées en garçons et les garçons en filles. Arnie avait mis du rouge à lèvre et déposait un baiser sur chaque verre qu'il servait tandis que Manu apportait un gigantesque plat d’huîtres ainsi que des assiettes garnies de crustacés que les gens dégustaient accompagnés d'une boisson. D'autres, autour du bar, sirotaient des cocktails et des milk-shakes roses. Un groupe d'enfants gonflait des ballons qu'ils attachaient au pont avant de les lâcher tous ensemble dans le ciel. Un poney avait été mis à disposition pour proposer des balades sur la place de la fontaine. Dans un coin, Chipi avalait des tonnes de poissons sans s'arrêter sauf pour boire de grosses coupes de champagne. La fête battait son plein quand Manu, qui avait trop mangé et trop bu, a grimpé sur la table pour danser. Dans un grand fracas, la table s'est brisée en mille morceaux et Manu s'est retrouvé par terre. Après cette terrible chute, Manu a dû prendre une semaine de repos. Les gens n'ont pas eu le choix et ont dû, les jours suivants, se rendre à contrecœur chez Arnie pour se désaltérer.