« C’est un atelier entre mode et sculpture. L’idée c’était de faire des sculptures à porter. » En période de post-confinement, alors que la distanciation physique est toujours en vigueur, le travail d’Amandine Maas semble faire lien, comme si ses sculptures étaient des médiatrices entre deux mains, deux corps ; elle a par exemple créé des sculptures qui lient, où l’un et l’autre peuvent passer leur main et se balader ensemble au travers d’une exposition, reliés par une petite sculpture portative.

Article de la Revue

Texte lu par Mathieu Simonet à la Maison de la Poésie le 30 mars 2018 à l'occasion d'une rencontre autour des artistes et chercheurs associés au projet des Ateliers Médicis.