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• Maëva Abdelhafid
• AIRJP Tagman et

À l’occasion d’une semaine de rendez-vous proposés par le collectif AC le feu dans le cadre du projet Pop Part 2, portant sur les luttes des quartiers populaires, Naïma Huber-Yahi présente son documentaire et anime un débat avec Youssef Bouzidi sur la marche pour l’égalité de 1983.

Ces conversations, pensées avec des autrices, racisées, et/ou issues de banlieue, questionnent le rapport à l'écriture de soi, souvent disqualifié ou remis en cause par son (supposé) manque de neutralité.

Transat – édition 5 – été 2024
Transat, ce sont des résidences consacrées au projet de création d'un jeune artiste et à la rencontre avec le public et à la transmission. Elles se déroulent dans des centres de loisirs, Ehpad, centres de réinsertion professionnelle, centres d'hébergement…
En 2024, le programme Transat évolue vers un nouveau format sans appel à candidature. Les projets de résidences artistiques sont d'ores et déjà déterminés pour cette année.
– Résidences entre le 1er juin et le 15 septembre 2024

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« Mes recherches ont porté sur la cité du Chêne-Pointu et les archives m’ont permis de visualiser l’ensemble du projet architectural d’origine.

Des parades avec Jordi Galí, Tidiani N’Diaye et Arthur Eskenazi, de la musique avec Grand Tabazù, Djeli Moussa Condé, Faizal Mostrixx, Ikoqwe, Lazy Flow, Yakar Trio, du cinéma avec la Cinémathèque idéale des banlieues du monde, l'école Kourtrajmé, des performances avec Smaïl Kanouté, Double Dutch Experience, les Sons of wind, Mounia Nassangar, du karting avec Blanche et Louise Lafarge mais aussi des ateliers de langues et de pratiques artistiques et un grand « banquet » !

Le jury a été marqué par la singularité de l’artiste et sa démarche introspective, intime et politique qui tord le récit familial de façade et la conduit à explorer l’histoire de sa mère. Meryem-Bahia Arfaoui avance avec un héritage sonore, d’un son à l’autre, d’une K7 des voix de l’exil à celle d’un poète égyptien, elle tisse un nouveau récit, avec sa mère au premier plan.  Meryem-Bahia Arfaoui a besoin « d’expérimenter la matière, et de l’attraper au moment où elle surgit – consciente du fait qu’un tiroir ouvert peut se refermer à tout