Dans le Finistère, il existe une commune où l’on a vécu pendant des décennies de papier à cigarettes, où le breton était la langue officielle, le gouren le sport national, la forêt était habitée par les sabotiers, et où les géants érigeaient des clochers. Si l’on s’y attarde, on y trouve aujourd’hui un missionnaire de la betterave, des pierres
miraculeuses, des vaches avec des cornes, des camélias en pagaille, une source d’eau pure et des personnages plus grands que des géants d’où elle tire aujourd’hui son nom « Scaër la joyeuse».