Publié par Eva Habasque
26 juillet 2024
Publié par Eva Habasque
26 juillet 2024

Journal des artistes

Publié par Eva Habasque
26 juillet 2024
Publié par Eva Habasque
26 juillet 2024

Journal des artistes

Publié par Eva Habasque
26 juillet 2024

Journal des artistes

Publié par Eva Habasque
26 juillet 2024

Journal des artistes

Publié par Florian Borojevic
30 juillet 2024
Publié par Fanny Rahmouni
22 juillet 2024

Journal des artistes

Publié par Fanny Rahmouni
22 juillet 2024
Publié par Fanny Rahmouni
22 juillet 2024

Journal des artistes

Publié par Shama Visini
6 juillet 2024

Journal des artistes

Publié par Shama Visini
6 juillet 2024

Journal des artistes

Publié par Shama Visini
6 juillet 2024

Journal des artistes

Journal des artistes

Publié par Lou-Anna Reix
20 mars 2024

Mickael Vis est un artiste visuel qui explore, à travers l'utilisation de photographies, archives et textes, la narration dans l'intime ; pour l'édition 2023 de Transat, il propose un retour dans son quartier d’enfance, à Grigny, pour son projet « Sous le soleil devant les divins ». « Quand on vient d'ici on ne peut pas ne pas être en colère ; on voit tellement de choses qui ne fonctionnent pas » dit-il. Dans une archive télé, en réponse à une question d'une journaliste sur l'importance de l'enfant dans sa conception de la ville, Émile Aillaud, architecte de la cité la Grande Borne à Grigny répond : « c'est pour que l'enfant puisse devenir ici ce qu'il ne serait pas devenu en étant ailleurs ». Michael Vis s'intéresse notamment à la mythologie qui structure l'urbanité de la ville. Lui, qui évoque le lourd « poids » de Grigny, se demande alors ce que cela veut bien vouloir dire, être ailleurs, ici, dans la ville la plus pauvre de France. L'ancien enfant grignois s’installe à nouveau dans cette ville, pour se plonger dans ses archives, retrouver ses proches et amis, raconter ce quartier et ses habitant·es par la photographie.